Je préviens cet article va être plus court que prévu et je vous l’explique.
Le brouillon était pratiquement terminé, restait plus qu'à fignoler la mise en page, indexer certaine partie du texte, etc.
Pour préparer mon brouillon, je me suis bien documenté sur les différents mélanges de gaz, leurs usages, le recyclage de la bonbonne de gaz… Un long article !
- Mais que s’est-il passé Sima ?
- Rien de grave, passons à la suite.
Mon comparatif entre sac de couchage en duvet vs sac de couchage synthétique
Bien choisir un sac de couchage est important lorsque l’on part en randonnée pour garantir un sommeil réparateur bien mérité. Je parlerais ici des sacs adaptés (3 saisons, printemps, été et automne).
Je parlerai de ma propre expérience qui vaut ce qu’elle vaut.
Les vendeurs, mais aussi beaucoup sur les forums, réseaux sociaux vous diront qu’en randonnée légère le duvet est mieux que le synthétique (plus léger, plus compressible, plus chaud, avec quelques inconvénients).
Lors de bivouacs a-t-on le droit en France de faire du feu ?
La réglementation concernant les feux de camp lors de bivouacs en France varie en fonction des régions et des périodes de l’année.
Avant d’aborder les aspects législatifs, je vais d’abord partager mon avis sur le sujet, expliquer ce qu’est un feu, les risques qu’il présente, et fournir quelques exemples.
Dans le billet précédent "Rando – Peut-on faire feu de tout bois ?", j’ai abordé les risques d’intoxication et les risques d’incendie dus à la production variable d’escarbilles et de flammèches par différents végétaux. Les risques ne se limitent pas à ces facteurs !
L’expression signifie :Employer tous les moyens pour parvenir à quelque chose.
Ici, nous allons la prendre au pied de la lettre, c’est-à-dire : peut-on fabriquer un feu avec n’importe quelle plante ?
Avant tout sachez qu’en France, la législation concernant le droit de faire un feu dans la nature est assez stricte en raison des risques d'incendie et de protection de l'environnement. Ce sera le sujet d’un autre billet.
Bien entendu, pour vos barbecues, poêlés et autres feux évitez de le faire du bois de palette ou de cagettes qui contiennent insecticides, fongicides et tout un tas de produits chimiques.
Pour faire écho à l’article précédent "Plantes Dangereuses à Éviter : Guide pour les Randonneurs et Promeneurs", il est important de noter qu’il existe plusieurs plantes dangereuses qu’il ne faut pas brûler en raison des substances toxiques qu’elles contiennent. Ces substances peuvent se volatiliser dans l’air lors de la combustion, représentant un risque pour la santé.
Voici quelques exemples de plantes à ne pas brûler :
Ne publiez pas vos spots de bivouacs sur les réseaux sociaux.
Je le sais que trop bien, publier nos spots de bivouac sur les réseaux sociaux permet de partager des lieux incroyables avec la communauté, d’inspirer d’autres personnes et de favoriser l’échange de bons plans. Cela aide aussi à documenter nos voyages, à garder des souvenirs et à susciter l’engagement en partageant des expériences uniques.
Incivilités : les randonneurs, promeneurs sont-ils responsables ?
Lors de ma randonnée dans le Jura, "le tour des 7 lacs et des 7 cascades en trois jours", le dernier jour, je me suis retrouvé face à un sentier fermé, marqué par d’innombrables panneaux "Interdiction d’entrer" et "Propriété privée", ainsi qu’une chaîne rouge et blanche bloquant tout passage. On peut supposer que cette décision du propriétaire est probablement due à des comportements inappropriés de certains promeneurs.
Vous aurez remarqué que je n’utilise pas le terme "randonneur" mais plutôt "promeneur", car ce dernier est plus global.
Une randonnée dans le Pays ou la Vallée de Caux, un petit coin de Normandie.
De la Normandie, je ne connaissais que le Cotentin, Dieppe, Trouville-sur-Mer, Deauville, Le Havre et Étretat… Ah oui, sans oublier le Mont Saint-Michel. Mais est-il vraiment normand ou breton ? C’est un sujet aussi délicat que le débat entre pain au chocolat et chocolatine.
Ha, ce n'est pas nous sur le logo à gauche c'est une image libre de droit.
Une randonnée inattendue. Elle m’a été proposée par Tom23. Nous ne nous connaissons pas vraiment, ayant seulement échangé quelques fois sur Mastodon. J’ai donc été enthousiaste à l’idée de cette expérience : partir en randonnée dans un lieu auquel je n’aurais pas pensé, à deux, sans nous connaître et sans me soucier du parcours. Bref, une première pour moi.
Cet article fait suite à la Série Rando – Compostelle-2024 – Depuis Sagunto, vous pouvez retrouver la totalité des articles en fin d’article dans la partie "Billets connexes".
En général, je ne transporte pas de nourriture pendant la journée, à l’exception de quelques barres de céréales et d’une provision pour le soir pris en cours de route. Habituellement, je pars en randonnée avec 1,5 litre d’eau, sauf lors de mon passage à Viver, où j’ai fait le plein pour la nuit de bivouac en altitude (totalisant 4,75 litres), sur une dizaine de kilomètres en montée.
Pour affronter les températures froides de cette période une fois passé Torre Torre, par précaution j’ai ajouté à mon équipement un tour de cou (buff), une doudoune, une paire de gants, un duvet plus chaud que celui que j’utilise en été, ainsi qu’un haut en laine mérinos à manches longues.
Jour 4
Antigua estacion de Toras (FC Ojos) – Barracas
9,970 km – D+ 356 m – D- 302 m
Cette étape courte s’est déroulée sous un ciel d’un bleu intense, balayé par un vent glacial de face tout au long du chemin, offrant des paysages à couper le souffle.
À Barracas, après avoir fait tamponner mon Credential à la mairie, je me dirige vers la seule auberge que j’ai croisée. À ma grande surprise, il s’agit d’une auberge de luxe proposant une nuit à 30 €. Ma chambre est équipée d’un lit une place et d’un lit double, avec une salle de bains comprenant douche, toilettes et lavabo. Les lits sont faits avec des draps propres et j’ai à ma disposition trois serviettes immaculées. De plus, il y a une cuisine commune entièrement équipée, avec réfrigérateur, micro-ondes, gazinière, machine à laver et tous les accessoires nécessaires pour cuisiner, ainsi que des placards de rangement. Une salle à manger et un salon communs complètent cet hébergement de qualité.
Jour 2
Torres Torres – Altura
26,593 km – D+ 1545 m – D- 1305 m Puis
Altura – Navajas
3,693 km – D+ 151 m – D- 154 m Total → 30,286 km pour la deuxième journée
Au début de cette étape, on continue d’être enveloppé par le parfum des fleurs d’orangers, avant qu’il ne soit progressivement remplacé par le délicat parfum des pins. Les paysages se métamorphosent également : des forêts de pins, des vergers d’amandiers, des oliveraies... Ça grimpe légèrement en altitude, ce qui explique qu’il n’y a plus d’oranger. La montée reste très douce, à peine perceptible. Le chemin suit principalement la "Via Verde de Ojos Negros" (la Voie Verte de Ojos Negros), une ancienne voie ferrée qui desservait le deuxième site sidérurgique d’Espagne au Puerto de Sagunto. Ce site a été fermé, je crois, en 1971, et récemment, cette voie a été aménagée pour devenir un chemin, ravissant particulièrement les cyclistes, surtout s’ils parcourent l’itinéraire de Teruel à Sagunto (principalement en descente, avec le vent dans le dos).
"Les années passent et je suis encore un voyageur." Bashô, Journaux de voyage.
Le Chemin de Compostelle depuis le Puerto de Sagunto, également connu sous le nom de "Camino de Santiago desde Sagunto", occupe une place spéciale dans mon cœur. Avant de me lancer dans cette aventure, j’avais quelques appréhensions :
D’abord, des soucis de santé, en particulier avec mon pied droit. Ensuite, le manque d’options d’hébergement à des prix raisonnables.
C’est précisément pour cette deuxième raison que j’ai dû raccourcir mon parcours, une décision que j’explique dans cet article et ceux à venir.
Bien que les pèlerinages depuis Sagunto aient une longue histoire, le tracé actuel de ce chemin a été établi en 2012. L’association "Asociación de Amigos del Camino Santiago desde Sagunto", chargée de promouvoir cette route, s’est formée juste avant la pandémie et n’a réellement pu agir qu’après celle-ci. Ainsi, ce parcours en est à son adlescence, ce qui m’a attiré et continue de m’attirer.
Avant tout je souhaite clarifier dès le début que cet article ne traitera pas des sujets tels que : Les erreurs de débutant en randonnée, Débuter en randonnée et les erreurs à éviter, mes erreurs de débutant, les erreurs en bivouac, etc.
Car cela sous-entend que vous faite déjà de la randonnée et ce peut être une idée d’article à venir.
Pour ceux qui n’ont jamais pratiqué la randonnée, se contentant peut-être de quelques balades dominicales, cet article pourrait être une introduction utile.
Plonger dans le monde de la randonnée au sein d’une association offre bien plus qu’une simple activité physique. C’est une expérience où la découverte et le partage se mêlent pour transformer votre perception de la nature et de votre environnement.
- Toi Sima, qui dans ta jeunesse a toujours randonné seul, parfois avec des amis, lorsque tu as repris c’était seul ! Mais pourquoi adhérer à un club ?
- J’y ai trouvé que des avantages que je vais détailler dans ce billet.
Adhérer à un club de randonneurs offre que des avantages, je n’y ai trouvé aucun inconvénient.
Pour vos prochaines randonnées itinérantes, voici un petit tutoriel pour transformer votre poncho en tarp.
Ce billet sera court car les étapes sont simples, pas besoin d’être un expert en bricolage, cela ne prend pas beaucoup de temps et ne coûte pas cher.
J’avais un poncho qui pouvait être utilisé comme tarp, mais j’ai récemment acheté un nouveau modèle plus léger et résistant qui ne peut pas servir de tarp. Pas de problème, quelques modifications suffisont.
J’ai également une toile de tente qui peut être utilisée comme tarp, mais si j’ai envie de partir plus léger, juste avec mon poncho c’est important qu’il puisse faire double usage.
Découvrir le bon usage de la couverture de survie peut être déterminant dans des situations d’urgence ou en plein air. Explorez les conseils pratiques qui vous permettront d’optimiser cet outil essentiel pour la survie et le confort en diverses circonstances.
La couverture de survie, bien que familière à beaucoup, mérite quelques rappels sur son utilité malgré les indications sur l’emballage. Il est essentiel de clarifier ses capacités et limitations pour une compréhension précise de ses applications.
Fais-tu du bushcraft ? Viens sima78 on va faire du bushcraft, de la survie. Sima78, tu manges des plantes et des racines ?…
Ce billet découle d’un mail auquel j’ai répondu, mais il présente également des similitudes avec des discussions que j’ai eues à deux reprises avec Thomas (nous l’appellerons ainsi). Thomas exprime le désir de faire des sorties sur plusieurs jours en ma compagnie. De plus, ces échanges peuvent être mis en relation avec certaines questions qui me sont posées de manière naïve par des personnes qui apprennent que je pratique la randonnée.
Un bon matériel de couchage en randonnée pour votre repos et un sommeil réparateur
S’isoler du sol, avoir un certain confort et dormir au chaud en randonnée
Soit ! vous n’aurez certainement pas le même confort que dans la literie de votre domicile, le but est d’essayer d’optimiser la qualité de votre repos nécessaire à la récupération. Si votre première nuit ne sera pas la meilleure, ce sera plus lié au changement d’environnement (des bruits que vous découvrirez, etc.) plus qu’à un réel inconfort, mais vous verrez que l’on s’y habitue rapidement, vous pouvez lire l’article Rando – Le bivouac peur et appréhension pour vous rassurer.
Certaines photos sont de moi d’autres prise sur des sites vendeurs.
Article destiné aux randonneuses et randonneurs débutant.
Des listes de matériels pour la randonnée avec leur poids et prix.
J’ai pensé faire une série d’article sur l’inventaire de tout mon matériel de randonnée. Il ne s’agit pas de tout ce que je prends, mais là où je pioche en fonction des besoins pour ma randonnée.
Les prix c’est pour vous donner un ordre d’idée de l’investissement. Pour chaque produit ce sera soit le prix que je l’ai acheté, soit le prix trouvé sur internet.
Les tarifs sont donc valables qu’à la date de cet article, les prix pouvant augmenter mais parfois aussi baisser.
Randonner tout en respectant la nature en toute simplicité, c'est une petite base en 8 points.
Si je sais que la majorité des randonneurs, que ce soit à la journée ou en itinérance sont généralement respectueux de l’environnement il arrive qu’il ait quelques petits écarts de comportement, plus liés à de fausses idées que de réelles négligences.
Respecter l’environnement, c’est aussi se respecter soi-même et les autres. Le but étant de ne laisser aucune trace de votre passage. Vous me direz : oui, mais Sima, il faut bien manger, bivouaquer, se laver, faire ses besoins…
Rando – Peut-on bivouaquer sur le chemin de Compostelle depuis Sagunto.
Si le mot "bivouac" est en gros quatre façons de passer la nuit (à la belle étoile, dans un hamac, sous tarp, sous tente) et qu’il est généralement autorisé ou toléré de 19 à 9h et qu’il peut aussi y avoir des restrictions dans certains lieux… Cette façon de faire n’est pas transposable en Espagne car la traduction de bivouac est "vivac", qui signifie dormir à la belle étoile et pour mieux comprendre nous allons revoir le vocabulaire et ne pas utiliser le mot "bivouac" qui peut prêter à confusion.
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