Les "366 réels à prise directe d’après Raymond Queneau" a été un excellent exercice pour moi.
J’écris au passé simple car c’est la suite et la fin. Constat que je n’ai pas tenu un mois complet.
Le fait d’avoir systématiquement un thème imposé chaque jour a fini par n’ennuyer, quelque chose de trop scolaire, trop contraignant et je ne souhaite pas m’imposer trop de contrainte, la vie de tous les jours s’en charge très bien sans que j’en rajoute.
Lorsque j’écris, j’ai une propension à l’excessive longueur dans mes textes, je pars toujours dans tout un tas d’explications parfois futiles. Bref, la brièveté n’est pas mon fort !
En confrontant mon penchant pour la prolixité, ce défi a été un stimulant qui m’a obligé à synthétiser mes idées de manière concise et épurée, un bon moyen pour me perfectionner.
Le premier message, celui à l’origine de tout : Littérature - 366 réels à prise directe de Sima 01 - du 01 au 15
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